Auto-interview
Écrit par Marine Provost | le 13 Mai 2021
Cette auto-interview a été rédigé dans le cadre de ma licence Information-Communication. En la lisant, vous allez découvrir ma personnalité, mes passions et mes engagements…
Pour commencer peux-tu te présenter?
Je suis Marine PROVOST, j’ai 20 ans et je suis étudiante en dernière année de licence Information-communication à l’Université Catholique de l’Ouest, de Rezé.
Qu’est-ce que le plus important pour toi ?
Ma famille et mes amis proches.
Quelles sont tes hobbies ?
J’adore la musique, le dessin, la lecture et l’écriture.
Et ta philosophie ?
Mon expérience personnelle me pousse à avoir aujourd’hui, une mentalité très positive et déterminée. Le mental est pour moi la partie essentielle pour pousser un projet jusqu’au bout. Si on n’y croit pas nous-même personne ne pourra nous suivre !
Une citation ?

Luchar por sus sueños
Musique
Dans tes hobbies tu as parlé de musique. C’est large ! concrètement, à quoi cela correspond ?
La musique a toujours été présente dans ma vie. J’en écoute énormément et je pratique différentes sortes. J’ai pris des cours de maîtrise (*ndlr apprendre à maîtriser sa voix en solo et en chorale) à l’EMD, l’École de musique de Vertou pour apprendre à chanter. J’essaye aussi d’apprendre le piano par moi-même avec des vidéos sur internet depuis quelques années. Ça me permet de m’accompagner au chant ou simplement de m’évader et de me concentrer sur quelque chose d’autre. Et en temps normal, je suis régulièrement à des concerts, spectacles.
Quels styles de musique écoutes-tu ?
Mes parents m’ont transmis le goût pour la variété française et j’apprécie toutes les musiques. Bien sûr j’ai des préférences pour la musique d’aujourd’hui, mais j’écoute aussi bien du Beethoven, du Berger, du Christophe Maé ou encore Nekfeu. J’essaye de tout écouter avant de porter un jugement.
Comment vis-tu l’arrêt des concerts ?
Plutôt mal… J’ai hâte que ça reprenne vraiment. De pouvoir attendre la date en écoutant les albums, faire le trajet avec des amies, être entouré de personnes heureuses et pouvoir décompresser le temps de quelques heures. L’ambiance actuelle est tellement pesante qu’aller à ne serait-ce qu’un seul concert pourrait beaucoup m’aider. Un jour, avant la crise on m’avait demandé à quel endroit je me sentais le plus sereine, contrairement à d’autre ce n’était pas à la mer ou à la montagne. C’était dans une salle de concert.
J’imagine que ça explique que tu es participé à la création de Concert pour un sourire?
Oui, bien sûr. Quand je suis arrivée en licence je me suis liée d’amitié avec des personnes qui aimaient autant que moi la musique. Lorsque nous avons choisi l’option Eutopia, il était certain que notre projet tournerait autour de la musique. Après plusieurs idées, nous avons choisi d’organiser ce concert pour des enfants qui ne peuvent pas forcément se retrouver dans une vraie salle. Si je dois garder un souvenir de mes 3 années à l’UCO Nantes ce serait cette journée du 10 Avril. Je me suis sentie dans mon élément, l’organisation de la salle, les balances, l’accueil de l’artiste et du public. Nous avions peur d’avoir personnes, et nous en avons finalement eu plus que prévues.
Dessins
Dans tes hobbies tu as aussi parlé de dessins. Quelles sortes de dessins ?
Je travaille essentiellement en noir, en réalité je dessine les ombres. On ne se rend pas compte avant de dessiner que ce sont les ombres qui font la différences sur un visage. Comme je dessine toujours à partir d’un réelle photo, je passe la moitié du temps à l’étudier dans les moindre détails. Sur chaque visage il y des particularités que j’adore découvrir. C’est plus compliqué, pour les personnes dont je connais le visage. Je dois réussir à me détacher de ce que j’ai en tête et me laisser porter par ce que j’observe sur la photo.
Comment t’es venue ta passion pour le dessin ?
J’ai commencé à dessiner, il y a quelques années vers 2016. Quand j’avais des moments seule, je préférais dessiner ou lire. C’est à la même période que j’ai commencé à me rendre à des concerts. Je dessinais donc les artistes que j’allais voir, pour garder une autre trace que le billet. J’ai donc commencé essentiellement avec des portraits.
Quelles sont tes influences ?
Je n’ai pas vraiment d’influence, je travaille à ma manière et je ne regarde pas forcément ce que font les autres. Il y en certainement d’autres mais je reste impressionnée par le travail des portraitistes ultraréaliste, comme le fait Laurènes Grisot ou la brésilienne Sheila Giovanni. À chaque fois, que je tombe sur une de leurs nouvelles créations je suis hypnotisée par leur talents.
Engagement personnel & Associatif
En naviguant sur ton portfolio on découvre que tu t’investies au quotidien. Es-tu engagé au près d’association ?
Oui, il y a l’association Ô ma Vie ! Comme je l’expliquait plus tôt. Je l’ai découverte en 2019 dans le cadre du projet Eutopia. J’essaye de donner de mon temps et avec Elisa Maindron nous essayons dès qu’il est possible de les inclure dans nos projets. Notre relation avec cette association est basée sur un échange, ils nous ont toujours suivis dans nos projets et on essaye de leur rendre la pareille.
Je me suis également investie pour une association Événement votre , créer il y a quelques années, qui réunit des adhérents d’associations de danse le temps d’un week-end. Je les ai aidé dans l’organisation de chacune des éditions. Je faisais la mise en place de la salle et de l’extérieur, je préparais les repas et faisait le service.J’ai vraiment adoré ce contact avec les gens et l’organisation événementielle. Cette expérience m’a permis très tôt de rentrer dans le monde de l’événementiel. Seulement, l’année dernière avec la crise sanitaire nous n’avons pas pu l’organiser et cette année non plus.
Plus récemment encore, j’ai fait mon stage de L3 au sein de l’association Allo Sébastien, qui vient en aide aux personnes âgées souvent isolés chez elle. Au-delà de ce qu’elle m’a permit de faire dans la communication j’y ai beaucoup appris humainement parlant. Elle n’a fait que renforcé mon appétence pour le monde associatif.
Si vous voulez en savoir plus sur mon engagement associatif, j’ai répondu avec Elisa MAINDRON à une interview de Lydia AMARA lors de la préparation du festival Reconnexion à l’UCO, à retrouver ici.